L’inclusion des immigrants au Québec, parlons-en un peu

En général, elle passe beaucoup par l’adaptation du nouvel arrivant aux mœurs, souvent à l’opposé de ceux qu’il connait et qui ne prédominent nécessairement pas dans la société qui l’accueille.
Plusieurs seront tentés par se tenir entre membres d’une même société pour pouvoir s’intégrer plus aisément au pays et cela est un bon moyen également mais il ne faut cependant pas rejeter l’idée de partir à la découverte de votre hôte et de vivre en harmonie avec sa culture sans toutefois en oublier ses racines.

La réalité n’est pas souvent au rendez-vous !

Le peuple québécois est de nature très accueillant et aisément conquis à l’idée de découvrir de nouveaux horizons, de sentir l’exotisme par votre présence et de vivre à travers votre partage interculturel, l’évasion qui n’aura été possible sans vos origines hors frontières.

Cependant, la réalité n’est pas souvent au rendez-vous lors de plusieurs essais tentés maladroitement au départ de cette aventure pourtant emplie de promesse.

Voici quelques conseils pratiques pour mieux s’intégrer et éviter les erreurs fréquentes aux yeux du peuple québécois en général.Pour les québécois, une bonne poignée de main sincère est beaucoup plus révélateur de votre volonté que n’importe quelle paroles que vous pourriez dire ou expliquer à définir qui vous êtes.

Une entrevue pour un emploi est vite engagée vers la voie de la réussite dès que l’employeur sent dans votre contact, la force de caractère dont il a besoin dans son équipe simplement grâce à votre poignée de main.

Il est sans dire qu’une personne qui serre la main sans conviction ne peut espérer atteindre de haut niveau de chance quant à l’obtention de l’emploi convoité.

Il est évident que le C.V. va jouer un rôle majeur à l’embauche, il reste cependant que l’employeur veut connaître son futur employé de vive-voix et de voir par lui-même la personne avec qui il va quant même bien travailler durant, il l’espère, un bon moment.

La chance est alors en place pour mettre de l’avant votre culture et les solutions qui viennent avec votre arriver, de préconiser une vision plus globale de vos compétences qui lui serait hors de tout doute, plus avantageux que les autres candidats qui attendent leurs tours.

Le seul fait de parler à une personne native de l’endroit où vous habitez, en l’occurrence les québécois, est déjà précurseur d’une bonne entente et de nouveaux liens qui pourraient mener loin.

Plusieurs réalités du monde échappe plus d’une fois à la compréhension du simple passant jusqu’à vos collègues de travail sur votre vie avant votre venue et honnêtement, c’est mieux ainsi.

Que penser du fait qu’il vous faut vivre votre culture dans une culture différente de la votre?

Je vous conseillerais de suivre le courant déjà bien établit par de nombreuses communautés qui s’occupent de bien vous intégrer au mode de la vie québécoise et de faire confiance à votre instinct quant à la suite des événements.

Il est fortement recommandé de ne pas vous imposer malgré la tentation immense de le faire mais de plutôt vous adapter en posant des questions sur vos besoins en connaissances culturelles de votre pays d’accueil et de vous laissez guider par la bonté des gens d’ici.

En gros, la mentalité québécoise se résume à  » vivre et laissé vivre« , faite se que vous voulez mais faites-le sans manquer de respect à personne.

Il est évident que le fait de vivre en ville et celui de vivre en milieu rural peut changer complètement les mœurs des gens selon leurs localisations, l’on ne vie pas en ville comme l’on vie à la campagne.

Plusieurs organismes s’occupent de plus en plus de ce genres de dossiers et accélèrent l’intégration de plusieurs familles dans des milieux ruraux pour y implanter une communauté plus interculturelle, à l’image d’une possibilité maintenant bien réel, l’immigration.

En conclusion, plusieurs possibilités autres que commerciaux pourraient vous impressionner par leurs simplicités et par leurs efficacités.

Laissez-vous aller.